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Doubles masters internationaux et parcours pluridisciplinaires

L’ENSAS forme en 5 ans au diplôme d’État d’architecte. L’objectif des études d’architecture est de former des individus éco et socio-responsables, capables de maîtriser l’ensemble des étapes de la conception et de la production d’un projet d’architecture et/ou d’urbanisme. C’est d’ailleurs ce qui fait tout la complexité et l’attrait de ces études: leur transdisciplinarité et leur finalité, résolument humaine et soutenable. Ainsi, l’apprentissage est assuré par une équipe d’enseignantes et enseignants pluridisciplinaires. Praticiens et chercheurs, architectes, ingénieurs, géographes, artistes, thermiciens, juristes, sociologues, sont autant d’experts qui vont transmettre leurs savoirs.

Pictos spécialités ENSAS

6-8 boulevard Wilson
BP 10037
67068 Strasbourg Cedex
Tél.: 03 88 32 70 49
ecole@strasbourg.archi.fr

  • Architecture
  • Urbanisme
  • Développement durable
  • Modélisation
  • Licence d’études en architecture
  • Licence professionnelle Construire écologique (avec l’IUT Robert Schuman)
  • Master Diplôme d’État d’architecte Doubles masters internationaux : Projet et techniques constructives (avec la TU
    Dresden), Cultures architecturales et projet urbain en Eurorégion (avec le KIT Karlsruhe), et Architecture, Design and Urban design (CAUP Tongji)
  • 3 spécialisations phares proposées par l’ENSAS sont accessibles avec le diplôme d’état d’architectes : Master 2 spécialisés en construction bois avec l’ENSTIB, en urbanisme avec l’INSA de Strasbourg, et en Architecture et archéologie (avec l’Université de Strasbourg),
  • Habilitation à la maîtrise d’œuvre en son nom propre (HMONP)
  • Doctorat

Formation continue pour le Diplôme d’État d’architecte

Le projet d’architecture et d’urbanisme est une discipline unique. Il s’agit de maîtriser dans un seul endroit une multitude d’échelles : spatiales (du plan à l’échelle 1, de la chambre à coucher à l’immeuble entier), temporelles (réfléchir au présent à des projets qui vont engager sur plusieurs décennies) et humaines (l’usager, les différents usagers, et le voisinage). Il s’agit également de marier l’idée au contexte, l’exigence esthétique et les nécessités fonctionnelles.
Les 3 premières années d’études (licence) permettent d’acquérir les connaissances fondamentales : enseignements techniques et scientifiques, art, histoire architecturale et urbaine, informatique et modélisation, construction écologique, etc. viennent compléter l’enseignement de projet placé au coeur de la formation. Les deux années de master spécialisent l’étudiant, tout en prolongeant l’enseignement des fondamentaux.

Initiation à la recherche dès la dernière année de licence, puis tout au long du cycle de master.
Formations en langues et stages tout au long des études.

L’ENSAS porte deux unités de recherche en collaboration avec d’autres établissements, l’une sur l’urbanisme et les ambiances, l’autre sur l’histoire de l’architecture; mais aussi une chaire partenariale sur les mobilités métropolitaines internationales et un réseau scientifique thématique sur les architectures en milieu extrême.

Sur dossier et entretien

• en 1re année, après un Bac (ou équivalent)
• en 2e année, après BTS Design d’espace, agencement, arts appliqués, DUT Génie civil, DNSEP Cadre bâti

• en 3e année, après diplôme d’ingénieur Travaux publics ou Génie civil, Architecte d’intérieur ENSAD ou Boulle, Assistants architectes EPSAA, DSAA Design d’espace
• en 1re année de master, transfert d’autres écoles d’architecture (réseau ENSA) et diplômés architectes d’autres pays (hors Union européenne)

 

À titre indicatif, les frais d’inscription pour l’année 2020/2021 s’élèvaient à 373 € pour les trois premières années en architecture et à 512 € pour les années suivantes.

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Cf. tableau des admissions

  • 780 étudiants en 2020/2021
  • 80 diplômés en 2020
  • 90% des diplômés mettent au maximum 6 mois pour trouver un emploi
  • 15% des diplômés ont un statut de professionnel indépendant et associé, 79 % sont salariés (90 % dans le secteur privé et 10 % dans le secteur public)
  • 54% travaillent dans le Grand-Est, 32% en Alsace, 7 % à l’étranger, environ 12% en région Île-de-France, 12% en Rhône-Alpes (pas Auvergne)